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avis du site www.memoire


 

L'avis de Mémoires :  
Dans l'idée, Mireille Dubois nous donne deux salutaires témoignages : on ne connaît et ne comprend l'Afrique (comme toute autre culture) qu'en y vivant, en s'en imprégnant, en côtoyant avec empathie les gens qui la peuplent. Et on découvre que ce continent est constitué d'êtres de chair et de sang, de joies et de souffrances : nous devenons soudain capables de respect et coupables d'oubli.

Il y a le cri de Munch, il y a le cri de l'enfant africain : ils sont identiques, mais le nôtre est celui d'adultes nantis. Il y a ces rites millénaires, qui construisent ce que d'autres veulent détruire ; la "palabre" garde son sens, à 1000 lieues de nos vaines et hautes dissertations. Il y a surtout ces femmes et ces enfants pour qui survivre est un défi quotidien. Et il y a ces mères qui sont belles parce que, comme partout et malgré tout, la maternité les rend infiniment belles

Le trait sert parfaitement le sens : il est spontané, rapide et fluide à la fois, s'imposant parfois de contenir la fougue du sentiment qui le guide. Avec cette riche et lumineuse couleur de l'Afrique qui a inspiré tant de peintres, il saisit l'instant, le grondement, le sanglot ou le rire.

La composition se veut serrée, centrée sur le sujet et sans fioritures annexes. Le choix de l'aquarelle est judicieux, avec son fond naturellement immaculé. Certaines oeuvres
Dans l'idée, Mireille Dubois nous donne deux salutaires témoignages : on ne connaît et ne comprend l'Afrique (comme toute autre culture) qu'en y vivant, en s'en imprégnant, en côtoyant avec empathie les gens qui la peuplent. Et on découvre que ce continent est constitué d'êtres de chair et de sang, de joies et de souffrances : nous devenons soudain capables de respect et coupables d'oubli.

Il y a le cri de Munch, il y a le cri de l'enfant africain : ils sont identiques, mais le nôtre est celui d'adultes nantis. Il y a ces rites millénaires, qui construisent ce que d'autres veulent détruire ; la "palabre" garde son sens, à 1000 lieues de nos vaines et hautes dissertations. Il y a surtout ces femmes et ces enfants pour qui survivre est un défi quotidien. Et il y a ces mères qui sont belles parce que, comme partout et malgré tout, la maternité les rend infiniment belle

Une peinture qui est traces par moments, et qui revient à l'universel, toujours
Dans l'idée, Mireille Dubois nous donne deux salutaires témoignages : on ne connaît et ne comprend l'Afrique (comme toute autre culture) qu'en y vivant, en s'en imprégnant, en côtoyant avec empathie les gens qui la peuplent. Et on découvre que ce continent est constitué d'êtres de chair et de sang, de joies et de souffrances : nous devenons soudain capables de respect et coupables d'oubli.

Il y a le cri de Munch, il y a le cri de l'enfant africain : ils sont identiques, mais le nôtre est celui d'adultes nantis. Il y a ces rites millénaires, qui construisent ce que d'autres veulent détruire ; la "palabre" garde son sens, à 1000 lieues de nos vaines et hautes dissertations. Il y a surtout ces femmes et ces enfants pour qui survivre est un défi quotidien. Et il y a ces mères qui sont belles parce que, comme partout et malgré tout, la maternité les rend infiniment belles

Le trait sert parfaitement le sens : il est spontané, rapide et fluide à la fois, s'imposant parfois de contenir la fougue du sentiment qui le guide. Avec cette riche et lumineuse couleur de l'Afrique qui a inspiré tant de peintres, il saisit l'instant, le grondement, le sanglot ou le rire.

La composition se veut serrée, centrée sur le sujet et sans fioritures annexes. Le choix de l'aquarelle est judicieux, avec son fond naturellement immaculé. Certaines oeuvres seraient quasi photographiques si l'artiste ne parvenait pas à y glisser, avec subtilité et sensibilité, l'atmosphère, et plus encore, l'âme.

Une peinture qui est traces par moments, et qui revient à l'universel, toujours